Pendant de nombreuses années, Zidane. La légende du football a 50 ans ce jeudi. L’occasion est donc parfaite de revenir sur sa carrière mais surtout de donner des indices sur son avenir. Et sur ce dernier point, l’icône du football français confie à l’Equipe nationale être surtout “jaloux” de l’équipe de France pour devenir “un jour” entraîneur. Un entretien dans lequel il juge également l’option du PSG “hors de propos”.
Dans cette interview fleuve début mai, Zidane estime qu’entraîner les Bleus est “la plus belle chose qui soit”. “Je veux, bien sûr. Je le serai, j’espère, un jour. Quand ? Ce n’est pas à moi de décider. Mais je veux boucler la boucle avec l’équipe de France.” C’est le top. Et donc, comme je l’ai vécu et aujourd’hui j’en suis l’entraîneur, l’équipe de France est bien ancrée dans ma tête”, a déclaré l’ancien capitaine des Bleus.
En attendant la coupe du monde
Le champion du monde 1998 et champion d’Europe en 2000 devra au moins patienter après la Coupe du monde au Qatar (21 novembre-18 décembre), alors que le contrat de l’actuel entraîneur Didier Deschamps est prolongé jusqu’à fin 2022 et qu’une prolongation est prévue. encore possible. . “C’est simplement venu à notre connaissance à ce moment-là. avec ses objectifs. Mais si l’occasion se présente, alors je serai là”, glisse “Zizou”.
Triple vainqueur de la Ligue des champions sur le banc du Real Madrid (2016, 2017, 2018) et aujourd’hui en quête d’un nouveau challenge, “ZZ” dit vouloir “continuer à s’entraîner”. Et s’il juge la piste menant au PSG “sans pertinence”, alors que le même président parisien Nasser Al-Khelaïfi a rejeté cette hypothèse évoquée mardi dans la presse, Marseille n’exclut pas qu’un jour il siège sur le banc de la capitale. club, grand rival de l’OM.
“Ne dites jamais jamais. Surtout quand vous êtes entraîneur aujourd’hui. Mais la question est discutable. Ce n’est pas absolument pertinent”, a-t-il déclaré. “Coach, il n’y a pas cinquante clubs où je peux aller”, argumente-t-il.
Dans dix ans? “Tout est ouvert”
Dans dix ans, Zidane, déjà impliqué avec sa famille dans son entreprise du complexe sportif Z5, peut bien s’imaginer dans d’autres rôles, à la tête “d’une structure ou d’une institution”. “Pourquoi ne pas être dans un projet dont je suis moi-même le leader”, explique-t-il, sans écarter l’idée de présider un club : “Tout est ouvert.” En attendant, la Fédération française de football sait quel cadeau lui faire.