Les pollutions augmentent, les hospitalisations graves restent maîtrisées. Mais une personne infectée par le covid n’est pas encore perçue comme un malade grippé. Est-il temps de dédramatiser ? Ou il faut s’habituer aux nouvelles normes sanitaires (masque, hygiène). Débat.
Article réservé aux abonnés Par Maxime Biermé, Xavier Counasse et Pascal Martin Publié le 27/06/2022 à 18:20 Temps de lecture : 2 min
Il y a des messages que nous préférons éviter. Du genre : “Bonjour, j’ai fait un autotest covid positif ce matin. Et comme on était ensemble depuis un moment samedi…” Certains préfèrent le mode illustré, avec une photo d’un test positif accompagnée d’un “je pense Je reviens de notre soirée.” Ou il y a la version plus empathique : “Mes symptômes étaient plus que psychologiques… deuxième vérification et boum. J’espère que ça va. Mais quelle que soit la forme, quand ces messages commencent à se multiplier , c’est parce que le covid attrape les poils de la bête.
Cet article est réservé aux abonnés Avec cette offre, profitez de :
-
Accès illimité à tous les articles, fichiers et rapports éditoriaux
-
Le journal en version numérique
-
Confort de lecture avec publicité limitée