“En Afrique, des cas émergent dans des pays qui n’étaient pas touchés auparavant, et des chiffres records sont observés dans des endroits qui devaient auparavant faire face au monkeypox”, a-t-il ajouté.
Lors de sa réunion du 23 juin, le Comité avait jugé que la flambée de cas, bien que très préoccupante, ne constituait pas “une urgence de santé publique de portée internationale”, le plus haut niveau d’alerte de l’organisation.
Depuis mai, une augmentation inhabituelle des cas de cette maladie virale a été détectée en dehors des pays d’Afrique centrale et occidentale où le virus est endémique.
La plupart des cas identifiés en dehors des zones d’endémie correspondent à des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, bien que des cas de personnes immunodéprimées et de certains enfants aient été identifiés.
La variole se manifeste par des symptômes pseudo-grippaux et des éruptions cutanées, qui disparaissent généralement d’elles-mêmes après deux à trois semaines.